(Ouagadougou, 26 septembre 2025) – Le Groupe Fadima, à travers sa filiale Générale Assurances, a franchi un nouveau pas en lançant officiellement son programme « GA-Elles ». Plus qu’une simple offre d’assurance, ce projet entend être un compagnon de vie pour les femmes, en leur apportant sérénité, épanouissement et confiance.

Rompre avec le schéma classique
L’idée n’est pas née d’un calcul marketing, mais d’un constat. Dans l’assurance classique, explique Yannick Yves Goungounga, Directeur général de la Générale des Assurances (GA), « le client paie et, en cas de problème, l’assureur indemnise. Mais dans nos contrées, la mise en œuvre de ces contrats pose problème, et pour les femmes c’est encore plus manifeste. Les contrats sont souvent inadaptés à leurs besoins ou trop complexes ». Avec GA-Elles, Générale Assurances veut rompre avec le schéma classique d’un simple contrat d’indemnisation. L’objectif est d’accompagner les femmes dans leur quotidien, au plus près de leurs réalités.
« Nous avons choisi d’innover : plutôt que de nous limiter à un échange d’argent, il s’agit de partager leur quotidien, de comprendre leurs réalités et de les accompagner vers plus de sérénité », ajoute-t-il.

Les femmes au cœur de la société
Derrière GA-Elles se profile une conviction simple mais essentielle : les femmes sont au centre de la vie familiale, sociale et économique. L’assureur veut donc aller au-delà des services financiers pour répondre à leurs besoins, dans une logique de confiance, d’autonomie et d’épanouissement.
« Les femmes sont les maillons essentiels des familles et de la société (…) Avec GA-Elles, nous avons voulu créer un cycle vertueux : attirer, accompagner et fidéliser les femmes, tout en créant de la valeur qu’elles retrouveront dans leur quotidien », insiste Banabam Aoufoli, Directeur général de GA Vie.
Une vision partagée avec la Banque mondiale
Cette vision a séduit l’International Finance Corporation (IFC), membre du groupe de la Banque mondiale, qui s’est associée au projet. Son représentant au Burkina Faso, Arnaud N. Ligan, rappelle l’enjeu mondial : « On estime qu’à l’horizon 2030, les femmes contrôleront près de 75 % des revenus mondiaux, et qu’elles en consacreront 90 % à la famille : santé, éducation, alimentation. » Avant d’ajouter : « Les femmes sont la colonne vertébrale de la société. Avec GA, nous voulons transcrire notre expertise globale dans un cadre local, en offrant aux femmes burkinabè des services réellement adaptés à leurs réalités. »

Une communauté ouverte et inclusive
Concrètement, GA-Elles se veut accessible à toutes. Aucune condition financière n’est exigée : il suffit d’être femme et d’adhérer via un QR code pour rejoindre la communauté. À partir de là, un réseau s’ouvre, avec des formations, des conseils santé, des appuis au bien-être et, bien sûr, des solutions d’assurance pensées pour leur réalité.

Au-delà des services, c’est une promesse d’avenir qui se dessine. En rendant les femmes plus confiantes et plus autonomes, GA-Elles entend contribuer à la prospérité collective. « Quand une femme est épanouie, c’est toute une famille, et par ricochet tout un pays, qui avance », conclut Yannick Yves Goungounga, Directeur général de la Générale des Assurances (GA).
Le lancement de ce projet se veut aussi un hommage à feue Yacine Farida Sawadogo, ancienne administratrice de GA et de GA Vie. C’est sous son leadership, dès 2019, que les premières fondations de cette initiative ont été posées.
La rédaction
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